
Manger, tout comme boire, fumer ou se droguer, mais aussi jeûner, peuvent apporter un apaisement momentané lorsque la souffrance psychique est trop intense.S'intéressant, une fois de plus en précurseur, à l'alcoolisme et à la boulimie, Ferenczi montre que l'addiction n'est pas la cause, mais la conséquence d'une souffrance, d'un traumatisme et qu'en cela, elle relève de la stratégie de survie, avec une fonction tout à fait précise : soigner le sujet.
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