
L'auteure souligne ici l'importance du contact physique et de la chaleur humaine si essentielle aux
tout-petits. Mathieu Lampron, quant à lui, a su mettre en images avec beaucoup de finesse les
propos de l'auteure. En jouant sur l'absence de couleurs et la renaissance de Méo Lebel, il exploite
tout le pouvoir évocateur de ses illustrations.
Depuis la mort de son épouse, Méo Lebel ne voit la vie qu'en gris. Claudine, sa voisine, fait tout
pour lui redonner le sourire. Mais rien n'y fait, Méo Lebel est trop triste... Jusqu'au jour où Claudine
amène Méo à l'hôpital, où il fera la rencontrer de Zoé, une prématurée.